Eye-Oeil-Ojo-Auge (Torre, Salvador)

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Performances

Recordings

MP3 file (audio)
SalvaTorré (2014/11/21)

Publisher Info. Salvador Torré
Performers Soli-Tutti Ensemble
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Misc. Notes Performed in the Paris 8 University, France
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Sheet Music

Scores

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SalvaTorré (2014/11/21)

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SaTo (2017/8/21)

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Misc. Notes A diagrammatic representation of the form of the work
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General Information

Work Title Eye-Œil-Ojo-Auge
Alternative. Title
Composer Torre, Salvador
I-Catalogue NumberI-Cat. No. IST 16
Movements/SectionsMov'ts/Sec's 1
Year/Date of CompositionY/D of Comp. 2009
First Performance. 2009-05-26 in Paris
Librettist Ludwig Wittgenstein (1889-1951)
Language English, French, Spanish, German
Dedication Antonia Soulez
Average DurationAvg. Duration 7 minutes
Composer Time PeriodComp. Period Modern
Piece Style Modern
Instrumentation 4 voices (SATB), flute, bassoon, cello, guitar, harp

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Eye-Œil-Ojo-Auge

La composition de « Eye-Œil-Ojo-Auge» de Salvador Torré pour quatre voix, fl. bn. vc. guit. hpe. sur des textes de Wittgenstein, demare à l’incise 5.6331 du Tractatus, l’œil qui s’ouvre. Mme. Soulez nous avait passé une photocopie de cette page du Tractatus dans la version anglaise-française. Mon étonnement et ma découverte de ce texte me paressaient difficile. Je me suis dit donc, pourquoi pas, pour m’éclaircir et mieux comprendre ce texte, faire une composition sur les textes du Tractatus en quatre langues diférents (voir si je pouvais mieux comprendre). Le première accord de la pièce démarre donc à l’insise (5.6331), l’œil s’ouvrent comme une ouverture du discours musicale, puis je reviens au debout dans l’ordre du Tractatus en dispossent les sept insises principales du Tractatus dans les different sections de la pièce sous une disposition temporelle basée sur les proportions d’or de Fibonacci (à chaque section importante, un insise commence) en finissent logiquement la pièce avec l’insise 7 « Sur ce dont on ne peut pas parler, il faut garder le silence ». Silence musical aussi qui clôt la pièce avec une citation cachée du Pierrot Lunaire de Schoenberg. La soprano chante en anglais, l’alto en français, le ténor en espagnol et le baryton dans la langue originelle, l’allemand. Les sonoritée issuses des consonnes m’ont intéressé principalement en exploitant toute la gamme de sons à la frontière du bruit, ou à la frontière du compréhensible ou « véritable » jouent dans l’ambiguïté du compréhensibles et sonores pures. « Quand une proposition nous est donnée, sont aussi données, avec elle, les résultats de toutes les opérations de vérité qui la prennent pour base. » (5.442). En introduisent le discours musicale je me demande si cela ne brouille la compréhension ou si il l’habille en éclaircissent la Vérité ou pas.